L’imprimante 3D a révolutionné le monde des industries depuis son apparition inopinée sur le marché. Cependant, son utilisation s’est également démocratisée auprès des particuliers. Au cours des décennies, elle a fait l’objet de nombreux perfectionnements. De nos jours, elle est devenue de plus en plus performante et précise pour se lancer dans l’impression 3D ou la fabrication additive. Elle consiste en fait à concevoir une pièce par ajout progressif de matière. Conscient de son potentiel, Barack Obama a même glissé un mot en sa faveur durant un discours à l’état de l’union. À l’heure, la technologie attire plusieurs adeptes. Cela n’a rien d’étonnant puisque certaines études ont démontré son impact positif sur l’environnement.
Réduction des déchets
L’industrie actuelle est connue pour sa production massive de déchets. Ils proviennent des résidus de matière qui n’ont pas servi. Exemple, les métaux ou les plastiques. Ce dernier constitue d’ailleurs l’une des problématiques du siècle. En effet, elles sont dans la majorité des cas déversées dans les océans. Pourtant, elles mettront plusieurs millénaires avant de complètement disparaître de l’écologie surtout ceux conçus à base de pétrochimie. Pour changer le monde, l’impression 3D s’impose comme une technologie verte grâce à deux arguments clés. D’une part, la quantité des matériaux utiles pour la fabrication additive est déterminée à l’avance. De ce fait, les entreprises évitent les gâchis en plus de réduire les détritus qui nuisent à l’écologie. L’explication est que contrairement à la fabrication soustractive, les matériaux sont rajoutés au fur et à mesure des besoins en couche. De plus, il est possible de définir au préalable la quotité de matériaux à utiliser dès la phase de modélisation. Et d’autre part, il n’est plus indispensable d’acheminer diverses pièces provenant de différents sites dans le but de créer un article. En pratique, l’entreprise peut produire la pièce en interne en une seule fois en disposant d’un service impression 3D. Elle réduira par la même occasion le coût des transports. Il faut aussi rajouter que le taux de CO2 émis par les véhicules pendant le transfert reste nuisible pour l’environnement.
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Utilisation de matières recyclées
Une imprimante 3D requiert l’utilisation de matériaux pour effectuer l’impression 3D. Sur les imprimantes traditionnelles, le papier est celui qui permet de graver des documents. Par contre, pour parvenir à imprimer en trois dimensions, il est essentiel de passer par le plastique, le métal ou la céramique… Tout dépendra de la dimension des objets à concevoir et le dispositif à disposition. En tant que solution verte, il est pareillement envisageable d’opter pour des matières recyclées ou biodégradables. Une entreprise peut par exemple préférer parmi la résine, le PLA ou encore des filaments issus du traitement des plantes de chanvres. Par ailleurs, l’emploi d’un dispositif 3D permet la création d’un prototype. Ainsi, dès qu’un modèle conçu n’est pas validé, sa réutilisation reste concevable pour la réalisation d’autres pièces.
En conclusion, l’impression 3D présente une capacité innovante pour les industries nouvelles générations. Elle aidera à libérer sa créativité. Elle permet de réduire les impacts des détritus sur l’environnement. Toutefois, elle réclame parfois l’usinage CNC qui prélève les excès de matière sur une pièce.
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